Janvier 2023 : Cet ouvrage vient d'être réédité, en tirage à la demande. Il s'agit d'une nouvelle édition entièrement recomposée, identique à l'édition originale, et non d'un fac-similé de mauvaise qualité. L'ouvrage de 370 pages est disponible en grand format (18x25cm) en version brochée (couverture souple), en version reliée (couverture rigide), ou bien en 4 petits fascicules à prix étudié, reprenant chacun une des quatre grandes parties de l'ouvrage). Une version Kindle est également disponible.

L'objectif de cette réédition était uniquement de proposer une lecture plus facile et agréable, et pour cela, l'ouvrage a entièrement été remis en page. Pour aider le lecteur à actualiser ses connaissances, une bibliographie mise à jour a été ajouté.

Châteaubriant, baronnie, ville et paroisse



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Chapitre I

Notes de la page 2




1La noblesse de France aux Croisades, p. 172.

2. Ce concile se tint en 1107, selon Travers, Histoire de Nantes, I, 233, ou en 1110, selon D. Lobineau et D. Morice.

3. D. Morice, Preuves, 417-421 - M. de la Borderie, Bulletïn de la Société archéologique de Nantes, VI, 111.

4. Voici une traduction littérale de cette épitaphe extraite du Cartulaire de Béré et publiée par D. Morice (Preuves, I, 528) :

« Le seigneur Goscho, digne fils d'un noble seigneur, distingué par son esprit, son visage, sa fortune, sa force, ses bonnes moeurs et sa naissance, beau, riche, courageux, généreux, construisit à ses frais cette église (Béré) et ce tombeau, il alla trouver les médecins de Gascogne, mais il mourut en ce pays. Son corps, apporté dans ses terres, repose ici, 10e jour de juillet, l'an 1114 de l'incarnation du Verbe. »

5Histoire de D. Lobineau, 122.

6. Cette épitaphe, publiée par D. Morice (Preuves, 1, 528), signifie :

« Brient, illustre seigneur, héritier du seigneur Geoffroy, la gloire de l'armée, l'honneur de sa famille, la terreur de ses ennemis, reçut une blessure mortelle en combattant pour sa patrie. Son corps fut ici reposé le ler décembre de l'an 1116 de l'incarnation du Verbe. Plein de repentir, ce seigneur confessa avant de mourir les trop grandes erreurs où il était tombé et les maux trop nombreux qu'il avait causes, il en demanda pardon, les larmes aux yeux. Prions donc pour que la miséricorde du Christ lui soit plus favorable que le glaive qui a tranché ses jours. »

7. « Obiit (Brientius) anno ab incarn. Domini MCXVI, et in sequenti anno fuit magnus ventus in Vigilia Nativitatis Domini. » (D. Morice, Preuves, I, 528).







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